Le Tarantian vu par les fans

Célaine (par Pump')


Nom : Célaine.L ( une héroine digne de ce nom, se doit d'avoir un coté mysterieux que l'anonymat permet. De plus, un nom unique, qd il est bien choisi, ça en jette et ça vous crée un mythe!!)
Race : Demi-Elfe renégat ( Fille d'une Haute Elfe, qui seduisit son pere un soir de d'ivresse, pdt l'unes des fameuses nuits de soltices, Pdt qu'il s'était égaré pdt la chasse. Celle ci, disparu aprés l'avoir mis au monde sans jms réapparaitre. Sans garder de véritable haine pour sa race maternelle, c'est, tt naturellement, de par son education et sa rancoeur inconsciente, qu'elle a choisi de suivre plutot la voie de son pere et dc, celle des humains.)

Taille : 70 pouces.

Poids : 670 pierres.

Alignement : Chaotique bon ( Libertaire en qques sorte. Rejette l'autorité et ne reconnait que ses propres lois, même si son ethique, juste, est parfois plus rigoureuse que les lois existantes.)

Background : "Née sous une signe cosmique/bonne étoile". Le soir même de sa conception, un soltice, pourrait être considerer comme un signe. Son pére, un homme simple mais cultivé, a tjrs repoussé ttes superstitions mais il n'as jms manqué, sans en touvher mots, que d'étranges événements sembles peser sur son destin.

Metier/Specialisation : Aucun precisement. Vagabonde à la rencontre de tout, offre ses talents à qui en a besoin contre du troc, ou des besoins courants. Technologiste et diplomate convaincue, elle reussit assez bien dans son entreprise( un voyage initiatique commencer vers 19 ans depuis la mort de son pére, pour pallier a de trop nombreuses et pressantes demandes en mariages des gentillhommes voisins...) et manque même rarement d'argent. Montre de vrais don pour la persuasion, d'un charme certain, elle manie aussi bien les armes à feus et se debrouille en chimie et en decoction de medecines diverses ( autodidacte). Ses nbx talents, associé à la destabilisation de sa feminité, font d'elles une allié de choix et une adversaire mortelle.

Psychologie : Erotomane/Histrionique, syndrome dit de "Superman". Un peu à raison, elle est profondement persuadée d'être le centre de l'univers. Besoin compulsif de seduire et d'etre reconnue, d'être indispensable se gonflant parfois de délires de grandeurs. Véritable solitaire ( peur de l'engagement et abbandonnique à cause de sa mére), elle trie ses compagnons de routes sur le volet et s'y attache difficilement, ce qui n'est pas leurs cas...

Signes Particuliers : Des reflets ors ds ses pupilles bruns ecorces. C'est bien simple, ses couleurs, son teint, son parfums même, degagent les exhalations vesperales de l'automne. Elle posséde egalement une tache de naissance( je sais, c'est un peu trop facile...) en forme de croissant, entre la poitrine.

Boisson : Un tord-boyau, fabrication maison, pour le voyage, il rechauffe et met les sens en eveil( grace à une plante commune, ressemblant à la digital et dt les vertus sont connus de peu, elle en inclue qques feuilles pdt la distallation. Elle appelle cette plante " l'Hellesdais"... )Mais elle préfère cpdt le vin épicé du sud , pour sa robe pourpre-carmin, et son gout de cerise et de miel.

Citations Frequentes : "Carpe Diem", "Laissez-moi vous aidez", "Tu regardes, mais tu touches pas" ...

Passe-temps : Jouir de la vie. Compensez son existence diurne voué quotidiennement aux autres, par une vie nocturnes de débauche ( Pas de meurtres et de complots crapuleux, mais plutot la luxure, les drogues, les "exces"...hum...no comment ).

 

Etendue, alanguie, dans un grand bouquet de feuille de fougère et d’iris couleur de lune, Célaine somnolait sous la brise estivale. Le bleu manteau céleste avait ostensiblement révolu ses quatre saisons, au diadème d’or, et déjà, une année entière s’était écoulée depuis que son père avait expirer son ultime souffle.
Ses yeux bâillaient, sans sommeil, sans l’éclair d’un battement, alors qu’elle s’interrogeait sur la vacuité de son existence depuis son départ. Elle s’était à peine éloigner de la résidence familiale, construisant une toile imperceptible. Le manoir de son enfance devenait le point d’origine d’une cible aux anneaux de plus en plus large, qu’elle ne voulait fuir, mais ne pouvait quitter que timidement. Elle serra contre son sein, le journal de son père, son bien le plus précieux, qu’il lui avait légué avec un ton grave et qu’elle n’avait jamais osé lire.
Elle s’imprégnât d’une gorgée d’Hellesdais, aspirant à l’ivresse, capturant la chaleur irradiant de sa poitrine. Ses joues s’enflammèrent. Elle se grisait pour se combler, tentant de remplir un vide dont elle ignorait la cause. Qu’attendait-elle de la vie ? Rien ne semblait s’offrir à elle, ni bonheur, ni peine, rien que le néant. Et pourtant, malgré le pragmatisme dont elle se flattait, elle espérait un signe.
La nuit était très avancée, et cependant, l’assoupissement ne semblait pas vouloir la gagner. Elle se sentait moite, suffoquante, le vent s’était couché derrière les collines et l’air semblait fuir l’alcôve ou elle s’était réfugiée. Elle se souvint, dans un éclat lucide, qu’il y avait un lac à l’orée du bois et cette pensée fit naître l’espoir d’un bien-être tout proche et la ranima. D’un pas leste, elle vola vers de fraîches et voluptueuses ablutions.
Alors qu’elle s’ébattait dans les ondes sombres comme l’encre, ses cheveux en absorbant tout les reflets prismatiques, elle entendit un craquement. Elle se redressa, sans pudeur, l’eau ruisselant sur son corps devenu immobile. Glacé comme une statue, elle épiait, cherchant dans les ombres, sans trop de peine – un faible héritage de sa mère, et sans doute le seul qui lui fuit utile - quel animal en était l’origine. D’un mouvement lent, presque insensible, elle saisit la lame qu’elle ne quittait jamais. Ses pieds nus, quittèrent les pierres moussues de l’eau pour l’herbe verdoyante de la rive. Elle crut percevoir un rire, ou du moins, un son vraisemblablement «humains ». Puis, d’un buisson juste en face de son camp se profila une silhouette masculine qui fila à une vitesse impressionnante. Bondissant sur ses talons, elle pista le fugitif le plus vite que le lui permettait l’incommodité de son corps toujours nu. Perdant de vue son campement, elle abandonna, après tout, il ne s’agissait peut-être que d’un voyageur de passage, ou un rôdeur, qui en avait profiter pour jouir du spectacle qu’elle offrait. Sur le retour, son regard fut attiré par un quelque chose, qu’elle avait pris pour une feuille, étant tombé de la poche du fuyard. Sans trop d’intérêt, elle le prit en main, il s’agissait d’un de ces papiers volant ventant les mérites des transports modernes, en l’occurrence ; Le «ISS Zéphyr », un superbe zeppelin. Elle alla le jeter, lorsqu’elle se rendit compte de l’état de son campement, tout était en désordre. Elle fut prise d’un tremblement d’effroi qui parcouru son échine. Un pressentiment la pris soudain, elle chercha encore et encore. Le journal avait disparu. Elle ne put retenir ses larmes.
Le matin baigna ses yeux rougis de ses rayons, l’aurore se levait à peine et dès son réveil, en proie à une rage obstinée et glaciale, elle fit ses paquets et se mit en route. Serrant le prospectus dans sa main, elle se mit en route, bien décidée à rattraper ce voleur méprisable. Son esprit machiavel et retors se régalait à l’avance de plans délétères pour venger cet acte blasphématoire...